La prise de conscience est unanime, et la petite musique gagne du terrain dans l'opinion. Du milieu scolaire au secteur associatif, tout le monde s'accorde sur la nécessité d'éduquer les nouvelles générations au respect du vivant. La conscience d'une communauté de destin non négociable couplée à la protection de la biodiversité devient une constante dans l'organisation de la cité et de son environnement. Il n'est donc plus envisageable de fractionner voir de déliter les engagements pour l'avenir. Les marches arrière sont impossibles. Ces générations montantes deviennent la priorité.
Les positions portées haut et fort par des institutions telles que l'ONU prennent de plus en plus de place dans les médias malgré la remise en cause de possibles intérêts particuliers. Une fois de plus, nous appuierons sur ce point auprès de notre journal régional SUD OUEST. Des décisions vont surgir. Chacun sera observé et scruté, et nul ne doute que les actes devront s'accorder non seulement avec la loi, mais également avec l'esprit.
Texte de l'ONU concernant la mise en garde de l'Espagne (bientôt la France ?):
https://tbinternet.ohchr.org/Treaties/CRC/Shared%20Documents/ESP/CRC_C_ESP_CO_5-6_30177_E.pdf